
Sur cholestérol
Les études de Keys et Jacotot ont montré l’influence des acides gras mono-insaturés sur le taux de cholestérol. Ils ont prouvé qu’un régime a base d’huile d’olive favorisait la baisse du cholestérol LDL (lipoprotéines de basse densité) et le maintient du cholestérol HDL (lipoprotéines de haute densité dit « bon » cholestérol).
Sur le système cardio-vasculaire et sanguin
En 1950, Keys démontre que les maladies cardio-vasculaires sont quatre fois plus importante en Finlande qu’en Grèce où le régime alimentaire est méditerranéen. La consommation d’huile d’olive réduit les risques de diabète et d’hypertension artérielle.
D’autres enquêtes ont prouvé que les acides gras ont aussi un rôle bénéfique au niveau des plaquettes. En effet, ils empêcheraient les risques de thrombose. Des études italiennes ont montré que la tension artérielle d’un consommateur d’huile d’olive était plus faible que celle d’un faible consommateur.
Une expérience réalisée sur six cents patients, par Renaud et Lorgeril dans les années 1990, a montré qu’après leur premier infarctus, en suivant un régime à base d’huile d’olive, les patients présentaient une baisse du risque d’accident cardio-vasculaire de 70 % ; ceci en moins de vingt sept mois. Il est maintenant reconnu que les peuples méditerranéens, grands consommateurs d’huile d’olive depuis des siècles, présentent un faible danger de maladie cardio-vasculaires.
Sur l’équilibre glycémique
Les diététiciens recommandent la consommation d’huile d’olive car elle améliore l’équilibre glycémique. Un régime à base d’acides gras mono-insaturés et relativement riche en graisse pourrait, dans certains cas, être plus efficace qu’un régime pauvre en graisse et riche en hydrates de carbone.
Sur les fonctions digestives
Les concentrations importantes d’acides gras mono-insaturés dans l’huile d’olive consommée améliore la motricité gastrique. Elle est aussi utilisée dans le cadre de traitements de troubles gastriques, biliaires et de constipations. En effet, au niveau des graisses végétales, l’huile d’olive est celle qui possède le coefficient d’absorption le plus élevé avec 94,3 %. Cette caractéristique serait due à sa ressemblance de composition avec celle de la graisse humaine.
Aussi l’huile d’olive facilite l’absorption intestinale du calcium, de la vitamine D3 et des acides gras poly-insaturés essentiels à la croissance osseuse.
Sur la prévention de certains cancers
Même s’il est très difficile d’apprécier dans quelle mesure la consommation d’huile d’olive intervient à ce niveau, on remarque que l’incidence et la mortalité de certains cancers tels ceux du sein, du côlon, des ovaires, de l’utérus et de la prostate, sont moins importantes dans les pays du pourtour méditerranéen.
De nos jours les chercheurs recommandent aux habitants des pays industrialisés, surtout chez les personnes âgées car elles présentent des risques de maladie plus importants, de diminuer les apports lipidiques par les graisses animales (acides gras saturés) et d’augmenter ceux apportés par les huiles végétales (mono et poly-insaturés). On peut même de nos jours assister à l’administration, par de nombreux médecins, d’une cuillère d’huile d’olive à jeun dans le cadre d’un traitement hépatique.
Sur le système cardio-vasculaire et sanguin
En 1950, Keys démontre que les maladies cardio-vasculaires sont quatre fois plus importante en Finlande qu’en Grèce où le régime alimentaire est méditerranéen. La consommation d’huile d’olive réduit les risques de diabète et d’hypertension artérielle.
D’autres enquêtes ont prouvé que les acides gras ont aussi un rôle bénéfique au niveau des plaquettes. En effet, ils empêcheraient les risques de thrombose. Des études italiennes ont montré que la tension artérielle d’un consommateur d’huile d’olive était plus faible que celle d’un faible consommateur.
Une expérience réalisée sur six cents patients, par Renaud et Lorgeril dans les années 1990, a montré qu’après leur premier infarctus, en suivant un régime à base d’huile d’olive, les patients présentaient une baisse du risque d’accident cardio-vasculaire de 70 % ; ceci en moins de vingt sept mois. Il est maintenant reconnu que les peuples méditerranéens, grands consommateurs d’huile d’olive depuis des siècles, présentent un faible danger de maladie cardio-vasculaires.
Sur l’équilibre glycémique
Les diététiciens recommandent la consommation d’huile d’olive car elle améliore l’équilibre glycémique. Un régime à base d’acides gras mono-insaturés et relativement riche en graisse pourrait, dans certains cas, être plus efficace qu’un régime pauvre en graisse et riche en hydrates de carbone.
Sur les fonctions digestives
Les concentrations importantes d’acides gras mono-insaturés dans l’huile d’olive consommée améliore la motricité gastrique. Elle est aussi utilisée dans le cadre de traitements de troubles gastriques, biliaires et de constipations. En effet, au niveau des graisses végétales, l’huile d’olive est celle qui possède le coefficient d’absorption le plus élevé avec 94,3 %. Cette caractéristique serait due à sa ressemblance de composition avec celle de la graisse humaine.
Aussi l’huile d’olive facilite l’absorption intestinale du calcium, de la vitamine D3 et des acides gras poly-insaturés essentiels à la croissance osseuse.
Sur la prévention de certains cancers
Même s’il est très difficile d’apprécier dans quelle mesure la consommation d’huile d’olive intervient à ce niveau, on remarque que l’incidence et la mortalité de certains cancers tels ceux du sein, du côlon, des ovaires, de l’utérus et de la prostate, sont moins importantes dans les pays du pourtour méditerranéen.
De nos jours les chercheurs recommandent aux habitants des pays industrialisés, surtout chez les personnes âgées car elles présentent des risques de maladie plus importants, de diminuer les apports lipidiques par les graisses animales (acides gras saturés) et d’augmenter ceux apportés par les huiles végétales (mono et poly-insaturés). On peut même de nos jours assister à l’administration, par de nombreux médecins, d’une cuillère d’huile d’olive à jeun dans le cadre d’un traitement hépatique.